Social Selling ou l’art d’une certaine discrétion
L’été est une période propice à la réflexion notamment sur la façon dont on gère ou pas/peu nos vies en général et professionnelles sur les réseaux sociaux en particulier.
La surgescence égotique sur les réseaux sociaux professionnels dont certains font preuve jusqu’à la dépendance pathologique est-elle dictée par leur SSI ? Est-elle efficace ? Ou existe-t-il une autre voie/voix ?
Est-il en effet bien nécessaire :
- d’avoir un avis sur tout et tout le temps
- de s’imposer un rythme de publication aussi rigide que stérile
- de vouloir toujours briller au firmament dans les yeux de ses contacts
- de chercher à avoir le dernier mot dans les interactions sociales
- d’associer à ces posts toujours le même cercle de personnes qui cultivent un certain entre-soi hmmm comment dire …
N’est-il pas plutôt préférable de :
- savoir se montrer discret
- s’octroyer du temps off
- regarder passer les
trainsposts - prendre du recul par rapport à la frénésie de partages des réseaux sociaux
- prendre la parole avec parcimonie et à bon escient sans afficher de certitudes absolues ni ton péremptoire
- cueillir le fruit quand il est mur et pas avant
- savoir se faire désirer longtemps si nécessaire
- attendre la rencontre propice sans nécessairement et systématiquement chercher à la provoquer
- …
Et vous pensez-vous également qu’une certaine discrétion en social selling est un art à cultiver qui porte des fruits prometteurs ?
Sur ce, bel été à toutes et à tous.
Namaste !
Le post scriptum du slasher 😉 : Rappelez-vous le « succès » ne rend pas heureux. C’est être heureux dans la vie qui est un vrai succès.